voyance par mail : infos pour formuler tes courriers électroniques
Alors voilà, j’avais toujours entendu faire part de la voyance, mais je n’avais jamais osé franchir cette étape difficile. À 20 ans, entre la dernière et mes premiers petits actions, j’étais la plupart du temps paumé : stress des exams, questions sur mon avenir, questions de cœur… un joueur bordeau. Un soir, au restaurant de turbiner mes mathématique, je squattais les forums, et je me trouve tombé sur un après célébrant la par e-mail, avec un médium qui promettait un contact en détail en pas plus de 10 jours. Le principe ? Tu envoies ton mail, tu mine toutes tes questions, et tu reçois une réponse écrit, posée, argumentée, sans rendez‑vous, sans pression téléphonique. Ça m’a posté moins déprimant qu’un une demande près de un numéro surtaxé. J’ai décidé d'expérimenter votre chance. J’ai transmis un mail à proximité de Olivier, un divinateur soi‑disant spécialiste de le tarot et l’astrologie, en lui implorant si j’allais réussir mon bac, si je trouverais une formation qui me plaisait, et même si j’allais réussir à contrôler ma relation avec ma personnel. J’ai cliqué sur “envoyer” voyance olivier avec le cœur qui battait, me suppliant si j’avais été trop direct ou photographie.
lorsque la voyance par email devient un coup de boost pour mes études Pendant mes premières semaines de fac, j’ai rouge que j’allais se claquer. Passer du lycée à l’université, ceci n’a rien à voir : plus de repères, des amphis bondés, des examens écrits chronométrés, et pas toujours de cours clairs. Mes notes ont commencé à retomber, et je me suis mis à douter de mes capacités : j’envisageais même de tout lâcher pour retourner à un bts plus rassurant. Un soir de juillet, perturbé devant mes classiques de système, je discute avec un collégue qui me traite de la voyance par mail : « T’as une question, tu envoies un mail, et tu reçois un contenu détaillé dans la journée ». Ça m’a semblé plus efficient qu’un tarot via le téléphone ou un SMS de 3 contenus. Alors j’ai tenté : j’ai écrit un mail à Olivier, s'instruisant ma galère : « Comment réussir à m’adapter aux études supérieures sans craquer ? » J’ai balancé mes défiance, mes phobies, même mes mauvaises façons d'agir ( je séchais de temps en temps les TD pour fixer en ville ). Puis j’ai cliqué sur « envoyer » avec une diversité d’espoir et de nihilisme.